Pas très chaleureux l'accueil... Arrivés par le train après avoir peiné à trouver l'appartement, un soir de novembre à 19 heures 30, plutôt frigorifiés. Dès le paillasson, nous sommes priés de faire ce que "nous devrons faire toujours à cet endroit" quitter nos chaussures que vous devons prendre à la main pour traverser avec nos bagages le grand salon, la salle à manger, la grande cuisine carrelée, monter l'escalier étroit et traverser le palier jusqu'à la chambre.
La salle d'eau avec wc, sans chauffage donne sur le palier commun à l'extérieur de la chambre.
A la demande d'une couverture supplémentaire, il me fut répondu que j'étais vraiment frileuse et qu'il était plus sain de n'avoir pas trop chaud pour dormir. En insistant une couverture me fut apportée à contre cœur. Quand j'ai exprimé le souhait d'avoir des chaussons, puisque nous devions circuler déchaussés, même pour le petit déjeuner, il me fut répondu que j'avais des chaussettes, j'expliquais que je souffrais d'une sciatique et que le froid du carrelage traversait, d'un geste très agacé, une paire de chaussons usagés me fut presque jetée. L'ambiance du petit déjeuner était un peu lourde, on avait hâte qu'on parte (libération de la chambre demandée avant 10 heures 30, sans possibilité de laisser son bagage). Nous avions hâte de partir aussi...
Chambre d'hôte, oui mais pas comme ça : dans les 20 euros (!) facturés du ménage, on pourrait inclure une paire de chausson invités (3€ chez Ikéa et lavable en machine...) ou prévenir les clients d'en avoir dans leur bagage.
Et surtout avoir à cœur que les gens se sentent à l'aise et pas chez quelqu'un qui n'a pas envie de les recevoir.
Vu le prix de la chambre, on attend autre chose.
Andres.a
Jean-Claude.i
Delphine.A
Escapade.a
